Lyndon B. Johnson l’a tuer
Dès 1964, quelques mois seulement après le drame de Dallas, la Première Dame des Etats-Unis, Jackie Kennedy en personne, était en vérité persuadée que son mari John Fitzgerald Kennedy avait été victime d’un complot et qu’il avait été assassiné par son successeur, Lyndon B. Johnson, acoquiné à de puissants lobbies militaro-financiers, notamment texans.
C’est en tout cas l’une des principales révélations rendues publiques par la fille de Jackie Kennedy, alors même que ce témoignage explosif aurait du être publié uniquement après 2030, soit 50 ans après sa mort selon son testamment.
Pourquoi la fille de Jackie Kennedy a-t’elle souhaité accélérer cette publication ?
Mystère…
Vidéo – Jackie Kennedy partageait la théorie du Complot sur l’assassinat de son mari JFK et mettait en cause son succeur Lyndon B. Johnson – Dailymotion
Il en ressort toutefois que Jackie Kennedy était une conspirationniste avant l’heure, puisqu’elle soutenait la théorie la plus répandue chez les observateurs indépendants de cet attentat, qui estiment – comme pour les attentats du 11 Septembre 2001 – que la liquidation de JFK était un coup monté par des cellules noires de la CIA en lien avec de puissants lobbies de l’ombre, notamment des lobbies militaro-pétroliers texans de mèche avec d’autres intérêts très puissants ayant également intérêt à imposer leurs hommes et leur agenda de domination.Des révélations explosives censurées par les médias aux ordres
Rappelons que les médias alignés et autres idiots utiles, tels le site pseudo-alternatif Rue89, fustigent les « conspirationnistes » pour leurs positions, estimant malgré les évidences que JFK a été assassiné par un tueur isolé et détraqué, Lee Harvey Oswald, et que le théorie du complot est issue d’esprits paranoïaques et/ou antisémites, sinon révisionnistes…
La version officielle de la mort de JFK, calquée sur la théorie de la balle magique, réfute d’ailleurs tout complot malgré plusieurs tentatives de réouverture du dossier.
De là à imaginer que Jackie Kennedy était paranoïaque, antisémite et révisionniste, il y a un pas que bien évidemment nous nous garderons bien de franchir.
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