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En politique, rien n’arrive par hasard. Chaque fois qu’un événement survient, on peut être certain qu’il avait été prévu pour se dérouler ainsi : ROOSEVELT (Franklin Delano)

samedi 31 décembre 2011

JO Londres 2012 : Le relais de la torche olympique et Prométhée

JO Londres 2012 : Le relais de la torche olympique et Prométhée
© Vigilant Citizen, le 19 Mai 2011
Londres se prépare aux Jeux Olympiques d’été de 2012 et au relais de la torche Olympique qui commencera le 18 Mai 2012. Cet évènement cérémoniel, où les gens de tous les horizons portent la flamme olympique à travers le pays d’accueil, est particulièrement symbolique pour ceux qui ont lancé cette tradition olympique.
Dans la mythologie Grecque, le « porteur de la torche » originel était Prométhée, le Titan qui vola le feu des dieux pour le donner à l’humanité. Le feu était considéré par les anciens comme une petite étincelle du soleil, qui était considéré comme la manifestation physique de la déité (voir Culte Solaire). En amenant le feu à l’humanité, Prométhée a donc autorisé les humains à s’intéresser « aux choses divines » et même à les autoriser à vouloir devenir des dieux eux-mêmes. Pour cette raison, Prométhée est particulièrement révéré dans les sociétés secrètes, car son mythe est la représentation ultime de la philosophie et les buts des écoles des mystères: l’ascension vers la divinité et l’immortalité par les moyens humains.

Prométhée tenant la torche
Dans les enseignements ésotériques, l’acte de « porter la torche » symbolise la conscience de l’homme pour sa propre « étincelle divine » et représente son aspiration à devenir « un parmi les dieux ». C’est, en un mot, la philosophie centrale de l’élite mondiale, qui est lourdement influencée par les enseignements hermétiques de la Franc-Maçonnerie, du Rosicrucianisme et de l’Illuminisme. Pour cette raison, la Torche de l’Illumination de Prométhée est souvent trouvée dans le symbolisme occulte de l’élite.
La fontaine de Prométhée au Rockefeller Center. Derrière la fontaine est écrit: « Prométhée, professeur de tous les arts, apporta le feu qui prouva aux mortels les moyens des fins divines. » Lire l’article de Vigilant Citizen en entier sur le symbolisme du Rockefeller Center dans l’article intitulé Sites Sinistres – Rockefeller Center [anglais].
Probablement la porteuse de torche la plus connue dans le monde, la Statue de la Liberté fut donnée aux Etats-Unis par les francs-maçons du Temple du Grand Orient Français.
Une main tient une torche au sommet de la pyramide de la Los Angeles Central Library(voir l’article en entier sur la Bibliothèque ici [anglais])
Le mythe de Prométhée est, selon plein d’instances, similaire au mythe de Lucifer – dont le nom Latin veut dire « Porteur de Lumière ». Puisque Lucifer est tombé du Ciel au royaume terrestre – apportant avec lui « la lumière de l’Illumination » – il est considéré par les écoles occultes d’être le Porteur de Lumière, l’Étoile du Matin, de l’intellectualisme et de l’illumination.
Depuis que la Torche de l’Illumination est le symbole principal représentant la philosophie de l’élite, est-il surprenant de la trouver en bonne place dans le rituel de cérémonie d’ouverture du plus grand évènement sportif du monde?

Dans les Jeux Olympiques


Le premier Relais de la Torche Olympique
La première cérémonie de relais de la torche Olympique a été tenue durant les Jeux Olympiques de Berlin en 1936, durant le Régime Nazi. Malgré le fait qu’Hitler a banni les organisations Maçonniques de l’Allemagne (il les identifiait comme des serviteurs des Juifs), son régime était néanmoins inspiré et profondément impliqué dans les sociétés secrètes. Il avait un grand respect pour le symbolisme et la constitution de sociétés secrètes.
« Toutes les abominations supposées, le squelette et la tête de mort, le coffre et les mystères, sont de simples contes pour enfants. Mais il y a un élément dangereux et c’est l’élément que j’ai copié d’eux. Ils forment une sorte de noblesse du clergé. Ils ont développé une doctrine ésotérique pas seulement formulée, mais distribuée par les symboles et mystères des degrés d’initiation. L’organisation hiérarchique et l’initiation par des rites symboliques, c’est à dire, sans déranger le cerveau mais en travaillant avec l’imagination par la magie et les symboles d’un culte, tout cela possède un élément dangereux, et l’élément dont j’ai pris le contrôle. Ne voyez-vous pas que notre parti doit avoir ce caractère…? Un ordre, c’est ce que cela doit être – un Ordre, l’Ordre hiérarchie d’un clergé séculier… Nous-même ou les Francs-Maçons ou l’Église – il y a de la place pour l’un d’entre eux et pas plus… Nous sommes les plus forts des trois et allons nous débarrasser des deux autres. »
- Hermann Rauschning, « Hitler Parle »
Le Parti Nazi a été lourdement influencé par le mysticisme Germanique. Plusieurs membres du Parti faisaient parti de la Société Thulé – un société secrète occulte basée à Munich. En dépit de ses différences extérieures avec d’autres sociétés secrètes comme la franc-maçonnerie, à la fin de la journée, quand tout a été dit et fait, les enseignements les plus profonds de ces société étaient à peu près les mêmes.
Puisque « les esprits occultes pensent pareil » le relais de la torche fut incorporé dans la tradition Olympique, Donc, tous les deux ans, des pays entiers se réunissent et célèbrent le passage de la torche de Prométhée, qui peut être uniquement allumée par la source ultime: le soleil – symbole de la déité.
Comme la plupart des personnes qui participent aux relais de la flamme – y compris les porteurs de torches eux-mêmes -ne savent rien du sens occulte de l’évènement, le transport de la flamme olympique demeure un exemple frappant des rituels de l’élite et de la philosophie célébrés devant une foule sidérée . Taper dans les mains et applaudir leur porteur de lumière local Lucifer, les masses célèbrent, une fois de plus, l’étendue de leur propre ignorance.
Autre symbolisme Illuminati dans les JO de 2012:
A l’intérieur du stadium Olympique. Pyramide avec des clés de voutes lumineuses…
Mascottes avec un seul oeil…
Voila un article récent de la BBC célébrant le relais de la torche et décrivant son histoire:

Londres 2012: Quel est le relais de la flamme olympique?

© BBC, le 18 Mai 2011 (désolé pour les quelques incohérences et manques de traduction)
« C’est une chose tout à fait passionnante à faire », dit Philip Barker.
L’historien Olympique et auteur a une boule dans la gorge rien qu’à la mémoire de courir, tenant la torche dans sa main, haut sur les montagnes de Taygetos au dessus de Sparte, en Grèce.
Il faisait parti du relais de la torche, l’exploit humain qui a couru en tenant la flamme sur son chemin de sa source, l’Olympe, jusqu’aux Jeux d’Atlanta en 1996.
A partir du 18 Mai 2012 le relais de la torche Olympique fera un tour au Royaume Uni dans la course aux Jeux Olympiques de Londres – pour 70 jours, avec environ 8000 porteurs de torche.
Les organisateurs disent que 95% de la population du pays devrait être à une heure de la route qui se terminera avec l’allumage de la vasque durant la cérémonie d’ouverture du stade Olympique à Startford.
Ils espèrent que l’émotion ressentie par Philip Barker sera partagée par la nation et parmi les foules se trouvant sur la route.
Mais comment les Jeux Olympiques sont arrivés à cette mouvance presque digne d’un culte d’une flamme nue?
La perception du relai de la torche est que c’est une recomposition contemporaine d’une ancienne tradition Grecque.
En réalité, c’est un phénomène appartenant aux Jeux Olympiques modernes, qui a commencé dans les JO d’été de Berlin en 1936, et pour les JO d’hivers d’Oslo en 1952.
Mais l’idée est ancrée dans une combinaison de mythes grecs, dont on pense qu’elle daten du 6è-5è siècles avant JC.
Les histoires concernent Prométhée. Il était un Titan et « ami de l’homme » qui vola le feu, un élément sacré, dissimulé à l’intérieur d’une tige de narthex (une sorte de fenouil géant) de Zeus, le père des Dieux, et le donna aux mortels.

La flamme est allumée par la lumière du soleil – avec d’autres flammes de secours allumées les jours précédents en cas de nuage
Les anciens Grecs avaient Lampadedromia – les courses de relai de torche – où l’équipe vainqueur allume une flamme sacrée, possiblement en rapport avec le culte de Prométhée et sa désobéissance des dieux pour apporter la connaissance aux mortels. The modern relay has a nod to the flame-kindling vestal virgins from the rival Roman civilisation thrown in. [manque de traduction]
Il invoque aussi l’esprit de la « trêve sacrée », une paix déclarée partout dans l’ancienne Grèce des mois avant les Jeux Olympiques et communiquait par des coureurs qui voyageaient à travers le pays.
Comme le classiciste de l’Université d’Oxford Cressida Ryan le met: « C’est un amalgame de morceaux de la mythologie. »
« S’accorder sur les faits importent peu, c’est trop vieux pour le savoir. Aujourd’hui il est utilisé comme force du bien – quelqu’un a prit une idée et roule avec elle. »
Une flamme Olympique allumée aux Jeux d’Amsterdam en 1928, mais ce n’était pas avant 1936 que le relai de la torche prit forme, sous le régime Nazi et l’organisateur sportif Carl Diem.
Une flamme était allumée en Olympie en utilisant le soleil et un miroir parabolique, puis elle fut rapportée au stade de Berlin par les coureurs à travers la Bulgarie, Yougoslavie, Hongrie, Autriche, et Tchécoslovaquie – des pays qui plus tard tombèrent sous la domination Nazi.
Le Feu était un symbole du régime d’Hitler, et une procession de flambeaux était une caractéristique. La direction visa à tracer un lien direct avec l’ancienne civilisation. Tel que Ryan l’explique: « Ils voulaient un pont symbolique entre l’ancienne Grèce et l’Allemagne moderne. Et la lumière était un symbole de purité – la lumière brillante, pure, blanche des anciens Grecs était quelque chose qui s’introduisit dans le mythe Aryen. »
Le producteur de film préféré d’Hitler, Leni Riefenstahl captura ce mythe, documentant l’évènement pour son film Olympie 1938.
L’après-guerre, pour les Jeux olympiques de Londres en 1948, les organisateurs ont embrassé l’idée de la flamme. Malgré la fois austère, le flambeau a été pris d’assaut par des foules le long de la route.
Depuis lors, le flambeau a bénéficié d’un temps plutôt hautement vieux, tous les quatre, et, dernièrement, deux ans, changeant la conception dans chaque ville hôte des Jeux olympiques et des tendances de chaque décennie.
Le relais a parfois été lancé avec un thème – Rome 1960: Le relais antique; Mexico City 68: Le relais vers le Nouveau Monde; Séoul 88: L’harmonie et le progrès.
Les modes de transport sont devenus de plus en plus folklorique – en skis, Oslo 1952; Skidoo, Calgary 88; et saut à ski, Lillehammer 94.
La torche a prit l’eau avec des nageurs à Veracruz, Mexico, 68 et à Marseille pour Grenoble 68 aussi bien que sous l’eau à la Grande Barrière de Corail pour Sydney 2000.
Elle a été prise avec des skis – sur le Concorde, Alberville 92; par satellite, Montréal 76; par parachute, Lillehammer 94. Et la torche, sans flamme a été dans l’espace, deux fois, en attente d’Atlanta 96 et Sydney 2000.
Canots, bateaux à vapeur, wagons, chevaux, chameaux, de nombreux sportifs et célébrités ont également joué leur rôle.
Elle a également attiré des protestations, la plupart d’activistes pro-Tibétains et droits de l’homme dans plusieurs pays quand elle a été flanquée par des gardes du corps Chinois sur son tour du monde pour Beijing 2008.
Et jusqu’aux années 1950, la torche était plutôt sexiste – aucunes femmes n’étaient autorisées à la porter.
La flamme est parfois accidentellement éteinte en route, apparemment « plus de fois qu’ils le préfèreraient, » dit Barker.
Dans le cas d’un tel évènement, elle peut être rallumée avec des flammes de secours d’Olympie portée durant le relai, dans un style de lampe plus petite.
Est-ce qu’un jour nuageux menace la cérémonie initiale où les femmes allument la flamme avec la lumière du soleil à Olympie, il y a aussi une série de flammes gardées en réserve à partir des « allumages d’entrainement » durant les jours amenant à l’évènement télévisé. La torche a été utilisée pour allumer le chaudron par des légendes sportives comme Mohammad Ali, par l’athlète Li Ning suspendu à un fil, par l’archer paralympique Antonio Rebollo et comme le feu au milieu de l’eau par le coureur Cathy Freeman.

Dans le sens des aiguilles d’une montre en partant du haut à gauche : Muhammad Ali, Salt Lake City, 2002; Li Ning, Beijing, 2008; Cathy Freeman, Sydney, 2000; et Antonio Rebollo, Barcelone, 1992; utilisèrent la torche pour allumer les chaudrons.
Tout cela fait partie de la façade que les historiens d’esprit olympique – alimentent de l’enthousiasme pour un événement sportif positif, souvent parmi les personnes qui ne peuvent pas être aux Jeux elles-mêmes.
Le fondateur du mouvement moderne Olympique, Pierre de Coubertin espéra que la torche Olympique « poursuit sa course à travers les âges, accumulant une compréhension amicale entre nations, pour le bien de l’humanité toujours plus enthousiaste, plus courageuse et plus pure. »
Trente Olympiades plus loin, pour les coureurs comme Barker, ce symbolisme est la clé.
« Quand c’est votre tour de porter la flamme, vous pensez à des pensées émotionnelles, pensez aux gens qui se sont affrontés aux Jeux Olympiques, Jesse Owens, de grand héros comme Steve Redgrave, »
« Vous vous sentez faire en faire partie car vous aidez à porter la flamme jusqu’au stade. C’était extrêmement spécial, très émotionnel. »