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En politique, rien n’arrive par hasard. Chaque fois qu’un événement survient, on peut être certain qu’il avait été prévu pour se dérouler ainsi : ROOSEVELT (Franklin Delano)

jeudi 18 août 2011

Merkel/Sarkozy: Le putsch de Paris

Sans opposition, sans critiques dans les médias et sans l'avis des peuples européens, tout le monde a apparemment avalé ce qui a été dicté à Paris. Un gouvernement économique de l'UE ayant pour tâche de gouverner en silence dans l'auto-détermination est sans précédent dans l'histoire.

Michael Mross pour news 26Nous sommes habitués depuis quelques temps à un déficit démocratique dans les deux pays. Mais avec l'introduction de l'UE et l'imposition de l'Euro, ce qui a été décrété hier à Paris se révèle être un véritable sommet.
Déterminés, Sarkozy et Merkel (mais probablement le seul Sarkozy car Angela Merkel faisait contre mauvaise fortune, bon coeur) ont tout simplement décidés de leur propre chef l'adoption d'un gouvernement économique. Sans aucun murmure entendu à travers les pays concernés. Les gens protestent-ils? Non, ils restent calmes. Des critiques dans les médias? Aucunes. Cela a certes un peu surpris. Pour ce qui a été décidé n'est rien d'autre qu'un coup d'Etat. Encore plus étonnante fut la réponse des représentants élus dans les gouvernements respectifs: de la droite à la gauche tout le monde soutient le coup d'Etat de Paris. Que reste-t-il des parlements nationaux après cette décision? A Paris, la capitulation totale a été signée. 
Qui veut un gouvernement économique? Les gens veulent-ils un gouvernement économique de l'Union européenne? Certainement pas - mais ils n'ont pas même été questionnés. C'est désormais le comportement traditionnel de Bruxelles. Bientôt un van Rompuy décidera ce qui se passera avec l'argent des impôts allemand et français. Un homme qui est certainement inconnu par 75% des citoyens français et allemands. Un nom que 99% des allemands et des français ne peuvent toujours pas même épeler correctement. Une personne qui n'est élue par personne. Un des dirigeants de l'UE relevant d'aucune légitimité démocratique.  Lorsque ce van Rompuy, dont chacun a dit a l'envi qu'il avait le profil du parfait homme de paille, statuera sur les sujets de l'UE, il décidera où l'argent sera aspiré et où il coulera. Il déterminera quand et où intervenir dans un pays, s'il ne se comporte pas correctement - c'est à dire, quand  il ne suivra pas la discipline imposée par Bruxelles. Van Rompuy - et non les parlements nationaux - gouvernera désormais sur tous les sujets des différentes nations. Dans nos pays, nous ne voterons plus désormais que pour décider de fumer ou non dans les cafés. Une interprétation très fine de la démocratie.    L'autodétermination économique est une composante essentielle d'une nation. Elle fut hier même abolie d'un trait de plume. Et personne ne pleure. Personne ne critique. Le silence dans la presse est assourdisant. Ce qui a été décidé hier reléve du coup d'Etat pur et simple. Il s'agit de la perte de pouvoir des parlements nationaux et la capitulation totale devant les désirs de Bruxelles. Pourquoi cette prise de pouvoir? Pour sauver l'euro? Mais la tentative se révélera vite inadaptée. Et en attendant que l'euro se fracasse, les vis seront bien serrées sur les autres sujets. La taxe sur les transactions n'est qu'une première étape. Avec plus de fiscalité européenne, des mesures, des restrictions, des contrôles de capitaux vont suivre. Les libertés seront encore plus limitées. Ce que nous voyons se dessiner à présent est une «Euro-dictature». La monnaie commune ne fonctionne pas et est seulement maintenue par la force. Cette violence va bientôt parvenir à être ressentie par chaque citoyen


Sans opposition, sans critiques dans les médias et sans l'avis des peuples européens, tout le monde a apparemment avalé ce qui a été dicté à Paris. Un gouvernement économique de l'UE ayant pour tâche de gouverner en silence dans l'auto-détermination est sans précédent dans l'histoire.


Nous sommes habitués depuis quelques temps à un déficit démocratique dans les deux pays. Mais avec l'introduction de l'UE et l'imposition de l'Euro, ce qui a été décrété hier à Paris se révèle être un véritable sommet.
Déterminés, Sarkozy et Merkel (mais probablement le seul Sarkozy car Angela Merkel faisait contre mauvaise fortune, bon coeur) ont tout simplement décidés de leur propre chef l'adoption d'un gouvernement économique. Sans aucun murmure entendu à travers les pays concernés. Les gens protestent-ils? Non, ils restent calmes. Des critiques dans les médias? Aucunes. Cela a certes un peu surpris. Pour ce qui a été décidé n'est rien d'autre qu'un coup d'Etat. Encore plus étonnante fut la réponse des représentants élus dans les gouvernements respectifs: de la droite à la gauche tout le monde soutient le coup d'Etat de Paris. Que reste-t-il des parlements nationaux après cette décision? A Paris, la capitulation totale a été signée. 
Qui veut un gouvernement économique? Les gens veulent-ils un gouvernement économique de l'Union européenne? Certainement pas - mais ils n'ont pas même été questionnés. C'est désormais le comportement traditionnel de Bruxelles. Bientôt un van Rompuy décidera ce qui se passera avec l'argent des impôts allemand et français. Un homme qui est certainement inconnu par 75% des citoyens français et allemands. Un nom que 99% des allemands et des français ne peuvent toujours pas même épeler correctement. Une personne qui n'est élue par personne. Un des dirigeants de l'UE relevant d'aucune légitimité démocratique.  Lorsque ce van Rompuy, dont chacun a dit a l'envi qu'il avait le profil du parfait homme de paille, statuera sur les sujets de l'UE, il décidera où l'argent sera aspiré et où il coulera. Il déterminera quand et où intervenir dans un pays, s'il ne se comporte pas correctement - c'est à dire, quand  il ne suivra pas la discipline imposée par Bruxelles. Van Rompuy - et non les parlements nationaux - gouvernera désormais sur tous les sujets des différentes nations. Dans nos pays, nous ne voterons plus désormais que pour décider de fumer ou non dans les cafés. Une interprétation très fine de la démocratie.    L'autodétermination économique est une composante essentielle d'une nation. Elle fut hier même abolie d'un trait de plume. Et personne ne pleure. Personne ne critique. Le silence dans la presse est assourdisant. Ce qui a été décidé hier reléve du coup d'Etat pur et simple. Il s'agit de la perte de pouvoir des parlements nationaux et la capitulation totale devant les désirs de Bruxelles. Pourquoi cette prise de pouvoir? Pour sauver l'euro? Mais la tentative se révélera vite inadaptée. Et en attendant que l'euro se fracasse, les vis seront bien serrées sur les autres sujets. La taxe sur les transactions n'est qu'une première étape. Avec plus de fiscalité européenne, des mesures, des restrictions, des contrôles de capitaux vont suivre. Les libertés seront encore plus limitées. Ce que nous voyons se dessiner à présent est une «Euro-dictature». La monnaie commune ne fonctionne pas et est seulement maintenue par la force. Cette violence va bientôt parvenir à être ressentie par chaque citoyen.


source :http://www.news-26.net

 

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