Sans opposition, sans critiques dans les médias et sans l'avis des peuples européens, tout le monde a apparemment avalé ce qui a été dicté à Paris. Un gouvernement économique de l'UE ayant pour tâche de gouverner en silence dans l'auto-détermination est sans précédent dans l'histoire. Michael Mross pour news 26Nous sommes habitués depuis quelques temps à un déficit démocratique dans les deux pays. Mais avec l'introduction de l'UE et l'imposition de l'Euro, ce qui a été décrété hier à Paris se révèle être un véritable sommet. Qui veut un gouvernement économique? Les gens veulent-ils un gouvernement économique de l'Union européenne? Certainement pas - mais ils n'ont pas même été questionnés. C'est désormais le comportement traditionnel de Bruxelles. Bientôt un van Rompuy décidera ce qui se passera avec l'argent des impôts allemand et français. Un homme qui est certainement inconnu par 75% des citoyens français et allemands. Un nom que 99% des allemands et des français ne peuvent toujours pas même épeler correctement. Une personne qui n'est élue par personne. Un des dirigeants de l'UE relevant d'aucune légitimité démocratique. Lorsque ce van Rompuy, dont chacun a dit a l'envi qu'il avait le profil du parfait homme de paille, statuera sur les sujets de l'UE, il décidera où l'argent sera aspiré et où il coulera. Il déterminera quand et où intervenir dans un pays, s'il ne se comporte pas correctement - c'est à dire, quand il ne suivra pas la discipline imposée par Bruxelles. Van Rompuy - et non les parlements nationaux - gouvernera désormais sur tous les sujets des différentes nations. Dans nos pays, nous ne voterons plus désormais que pour décider de fumer ou non dans les cafés. Une interprétation très fine de la démocratie. L'autodétermination économique est une composante essentielle d'une nation. Elle fut hier même abolie d'un trait de plume. Et personne ne pleure. Personne ne critique. Le silence dans la presse est assourdisant. Ce qui a été décidé hier reléve du coup d'Etat pur et simple. Il s'agit de la perte de pouvoir des parlements nationaux et la capitulation totale devant les désirs de Bruxelles. Pourquoi cette prise de pouvoir? Pour sauver l'euro? Mais la tentative se révélera vite inadaptée. Et en attendant que l'euro se fracasse, les vis seront bien serrées sur les autres sujets. La taxe sur les transactions n'est qu'une première étape. Avec plus de fiscalité européenne, des mesures, des restrictions, des contrôles de capitaux vont suivre. Les libertés seront encore plus limitées. Ce que nous voyons se dessiner à présent est une «Euro-dictature». La monnaie commune ne fonctionne pas et est seulement maintenue par la force. Cette violence va bientôt parvenir à être ressentie par chaque citoyen |
Sans opposition, sans critiques dans les médias et sans l'avis des peuples européens, tout le monde a apparemment avalé ce qui a été dicté à Paris. Un gouvernement économique de l'UE ayant pour tâche de gouverner en silence dans l'auto-détermination est sans précédent dans l'histoire.
Nous sommes habitués depuis quelques temps à un déficit démocratique dans les deux pays. Mais avec l'introduction de l'UE et l'imposition de l'Euro, ce qui a été décrété hier à Paris se révèle être un véritable sommet.
Qui veut un gouvernement économique? Les gens veulent-ils un gouvernement économique de l'Union européenne? Certainement pas - mais ils n'ont pas même été questionnés. C'est désormais le comportement traditionnel de Bruxelles. Bientôt un van Rompuy décidera ce qui se passera avec l'argent des impôts allemand et français. Un homme qui est certainement inconnu par 75% des citoyens français et allemands. Un nom que 99% des allemands et des français ne peuvent toujours pas même épeler correctement. Une personne qui n'est élue par personne. Un des dirigeants de l'UE relevant d'aucune légitimité démocratique. Lorsque ce van Rompuy, dont chacun a dit a l'envi qu'il avait le profil du parfait homme de paille, statuera sur les sujets de l'UE, il décidera où l'argent sera aspiré et où il coulera. Il déterminera quand et où intervenir dans un pays, s'il ne se comporte pas correctement - c'est à dire, quand il ne suivra pas la discipline imposée par Bruxelles. Van Rompuy - et non les parlements nationaux - gouvernera désormais sur tous les sujets des différentes nations. Dans nos pays, nous ne voterons plus désormais que pour décider de fumer ou non dans les cafés. Une interprétation très fine de la démocratie. L'autodétermination économique est une composante essentielle d'une nation. Elle fut hier même abolie d'un trait de plume. Et personne ne pleure. Personne ne critique. Le silence dans la presse est assourdisant. Ce qui a été décidé hier reléve du coup d'Etat pur et simple. Il s'agit de la perte de pouvoir des parlements nationaux et la capitulation totale devant les désirs de Bruxelles. Pourquoi cette prise de pouvoir? Pour sauver l'euro? Mais la tentative se révélera vite inadaptée. Et en attendant que l'euro se fracasse, les vis seront bien serrées sur les autres sujets. La taxe sur les transactions n'est qu'une première étape. Avec plus de fiscalité européenne, des mesures, des restrictions, des contrôles de capitaux vont suivre. Les libertés seront encore plus limitées. Ce que nous voyons se dessiner à présent est une «Euro-dictature». La monnaie commune ne fonctionne pas et est seulement maintenue par la force. Cette violence va bientôt parvenir à être ressentie par chaque citoyen.
source :http://www.news-26.net
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